19 octobre 2011
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Je déambule dans une fôret de parapluies
Je dandibule sous une pluie de cordonnet
A peine esquissées les aquarelles s’évaporent
Et du ciel d’or les images enlacées…..
Je vois les poissons chanter, j’entends les oiseaux buller
Nuits embrasées et journées cendrées
Petite Morphée invite moi encore
Au creux de tes bras ou siège la liberté
Quand sonne le glas il faut dire adieu
Les masques de grisailles de la cité
M’enchainent dans des mailles de morosité.